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 Primerose Ann Cartwright ♦ take a breath, open your heart - loading 100%

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Primerose a. Cartwright
Primerose a. Cartwright


A EMMÉNAGE(E) LE : 06/01/2014
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PSEUDO : Leaveshynn
DOUBLE(S) COMPTE(S) ? : pas encore
AVATAR : Nina Dobrev
CRÉDIT(S) : tumblr & myself
AGE DU PERSONNAGE : vingt six ans
SITUATION : mariée pour le moment
MÉTIER : Chirurgienne Pédiatrique
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MessageSujet: Primerose Ann Cartwright ♦ take a breath, open your heart - loading 100%   Primerose Ann Cartwright ♦ take a breath, open your heart - loading 100% Empty1/27/2014, 22:12






∞ CARTWRIGHT, primerose ann
~ les monstres sont réels, ils vivent en nous et parfois, ils gagnent.




NOM ► cartwright. PRÉNOM ► primerose ann. AGE ► vingt-six ans. PROFESSION/ÉTUDES ► chirurgienne pédiatrique. LOCALISATION ► walnet groove. DATE ET LIEU DE NAISSANCE ► 14 mai 1987, prague - république tchèque. NATIONALITÉ ET ORIGINE ► américaine & tchèque - prague. STATUT CIVIL ► mariée pour le moment. SIGNE PARTICULIER ► vit avec un seul rein. CÉLÉBRITÉ ► nina dobrev. COPYRIGHT ► tumblr + myself.





traits de caractère → Ce n'est pas chose aisée de décrire le caractère de primerose. Elle est une énigme pour bien des gens. Rare sont les gens qui la connaissent vraiment et qui ne s'étonne plus de la voir fondre en larme ou exploser de rage sans raison apparente. Car oui, primerose est changeante. Elle peux passer des rires aux larmes, de la joie à la peine sans crier gare. Son enfance est un ramassis d'horreur. Pendant les dix premières années de sa vie elle n'as connu que la noirceur et la honte. Elle a été abusée par son père et par des amis de ce dernier. Elle était une petite fille sans défense, timide et qui n'osait jamais dire ce qu'elle pensait. Mais dans l'horreur qu'as été cette épreuve, elle en est ressortie beaucoup plus forte. Jamais plus elle ne s'est laisser marcher dessus. Aujourd'hui elle est quelqu'un d'impulsif, attachante, généreuse et colérique. Elle surprotège les gens qu'elle aime et est prête à tout pour détruire ceux qui lui font de l'ombre. Elle peut être manipulatrice et calculatrice mais par dessus tout elle est d'une grande douceur. Elle donnerais sa vie pour ceux qu'elle aime, mais reste profondément meurtrie par son passé qui encore aujourd'hui revient la hanté quand elle ferme les yeux ...

••••••••••••••••••••••••••••
votre arrivée à Walnet Groove → Primerose à emménager à Walnet Groove il y a quatre ans. Ce quartier a été son nouveau départ, sa chance de tout reprendre à zéro. Elle n'étais pas encore mariée quand elle est arrivée. Liam et elle ont vécue énormément de bon moment ici, mais la nuit de leur arrivée reste certainement la meilleur. La neige tombait dehors. Le camion de déménagement venait de quitter l'allée. Assise sur l'un des cartons, primerose dévia son regard vers son mari occuper a brancher les derniers fils de la télévision. Il avait cette petite ride juste au dessus des yeux quand il était concentré. Il avait toujours été d'une grande gentilesse avec primerose. Il la serrait contre lui la nuit quand ses cauchemards la réveillait. Il la protégeait quand quiconque tentait de tirer avantage de sa gentilesse. Alors qu'elle le regardait, la jeune femme se prit à rêver d'une longue et heureuse vie avec lui. C'est à ce moment là que Liam s'était approché et agenouillé au milieu des cartons. Il avait poser les yeux sur elle et pris sa main pour y déposer une magnifique bague. Primerose n'avait pas attendu son discours pour esquisser un sourire et attraper son visage. Leurs lèvres se rencontrèrent, et elle sû à ce moment précis, que si les cinquante prochaine année ressemblait à cette soirée, alors Liam serait sans aucun doute l'homme de sa. Oui, Walnet Groove avait donner une nouvelle chance à Prim, de bien des façons ...



∞ FIRST OF ALL, YOU DON'T KNOW ME



« En ville, le crime est emblématique d'une classe ou d'une race. Dans les banlieues il est intime, psychologique, résistant à toutes généralisations: Un mystère de l'âme individuelle. Vous avez la sensation de connaître vos voisins ? vous pensez qu'en les voyant évoluer jour après jour de l'autre côté de la rue vous permet de les juger ? détrompez-vous, ces gens qui vous entourent ne sont jamais ce qu'ils prétendent être. Les monstres sommeillent en chacun de nous & parfois sans raison apparentes, ils gagnent. »

A PARTIR DE CE JOUR, J'ÉTAIS FOUTUE.
Qui aurait crut que tout finirais et commencerais ainsi. J'ai essayer, vraiment essayer de me battre. J'ai tenter d'oublier ce jour, d'oublier ton visage penché sur moi. Ce regard que tu as eu, cette façon de me toucher. J'ai hurler et pleurer, pourtant tu n'as jamais eu ne serait-ce qu'une once de remords. Ce jour là tu m'as achevée. D'une manière ou d'une autre je suis morte. Mon âme n'as pas eu le droit a un salut digne de ce nom. Alors j'ai errer les rues jour après jour, tentant de comprendre pourquoi ? J'ai eu peur, pendant de très longues années j'étais terrifiée. J'ai grandit dans la crainte et la sensation d'être sale, répudiée, dérangeante. Voilà ce que j'ai toujours été, une entrave, un boulet à ta cheville. Au final, tu as échouée. J'en ai finit de tout cela, je ne suis pas quelqu'un de mal, je n'ai jamais rien fait de mal. Je suis forte et indépendante. Tu n'es qu'un porc, un fils de pute qui n'as jamais été capable d'aimer qui que ce soit en dehors de ton égo sur-dimensionner. J'ai compris aujourd'hui ton petit jeu. Tu ne m'auras plus, c'est fini. Je m'en vais. Quitte à mourir, je veux le faire dans la dignité. Tu ne peux plus m'atteindre, dommage. Un jour je reviendrais, et je te détruirais. Quand ce jour arrivera, tu me suppliera de t'achever.

Père Primerose

PRAGUE LE DIX NEUF DÉCEMBRE 1996
« Tu n'es rien, qu'une petite salope qui n'est bonne qu'a se faire sauter au détour d'une ruelle. »
Sa main se leva avant de venir s'abattre sur ma joue. La douleur fut violente, mais n'étais rien en comparaison de ce feu qui enflammait ma poitrine. Ses paroles raisonnaient dans ma tête inlassablement. Une salope, une ratée, un déchet. Je n'étais qu'un pion, une vulgaire pièce de son échiquier géant. Tout alla ensuite très vite, je vis son poing se dresser face à moi. Je n'avais plus de force, pourtant j'arrivais encore à bouger. Mon instinct me dicta de reculer de quelques pas. Ma jambe heurta la chaise. Je me sentit basculer. Le carrelage froid et sale amortit quelque peu ma chute. Ma cheville se bloqua dans les barreau de la chaise restée à terre. Il se rapprocha.
« Pitié arrête. pitié, s'il te plaît. » « Tu vas apprendre à obéir, j'en ai plus qu'assez de tes gémissements continuels ! TAIT TOI ! » Les coups s'enchaînèrent alors. Mon corps devint meurtri. Je me forçais à penser à autre chose, à déconnecter mon esprit de ce corps blessé et rougi par le sang. Mes yeux se fermèrent, mon âme vagabonda, me permettant de m'échapper à ce supplice qui était mon quotidien.

Homme Primerose Mère

As-tu peur du noir, jolie poupée ? PRAGUE LE 4 NOVEMBRE 1995
A l'époque je n'avais pas été capable de répondre. Je me souvenais juste qu'un homme, qui n'étais pas mon père étais venue à la maison et que maman avait crier. J'entendais encore ses cris résonner dans ma mémoire. Je me rappelle du visage de cet homme, et de ce qui avait suivit .. « Non ! NON laisse ma fille, ne la touche pas sale porc ! » « Ferme la donc, et laisse nous tranquille » La jeune femme tomba à terre sous la violence du coup. Sa main se leva en vint vers la petite fille brune agenouillée prêt d'elle. « Maman ? » L'homme attrapa alors la fillette, et tout devint noir. On raconte que la mémoire bloque certains de nous souvenirs, dans mon cas c'est peut-être mieux comme ça. Mon enfance reste un trou noir. Une plaie béante que je sais malsaine mais que je ne peux occulter.

AUJOURD'HUI JE SUIS LIBRE
C'est fini. Tu n'aura plus jamais aucun pouvoir sur moi. Je suis une femme maintenant. Je m'en vais, et je t'emmerde. Que tu crèves. Je me vengerais un jour, mais pour le moment j'ai une vie à vivre. Une adolescente à rattraper. Tu m'as voler mon enfance, je ne te laisserais pas me voler mon futur.





« C'est à ce moment là qu'un sentiment m'a envahit, comme une couverture bien chaude. J'ai su, d'une certaine façon, que je devais rester en vie. D'une certaine façon, je devais continuer à respirer »

PRAGUE LE 14 MAI 1997
Quatre minutes. Deux Cent quarante secondes pour influencer une existence à jamais. Le soleil était au plus haut dans le ciel ce jour là. Les enfants jouaient dans les piscines aménagés dans les fonds des jardins. En quatre petites minutes, une petite ordinaire passa au rang de victime. Victime de la férocité des hommes, de la violence de l'être humain, de son besoin constant de supériorité. Elle aurait pu courir, elle aurait pu crier. Mais elle avait accepter son sort. En espérant de toute ces forces que ce serait mieux de l'autre côté. Quatre minutes au cours des quelles elle a vu son enfance s'envoler sous ses yeux. Elle ne pouvait être une enfant après ce cours laps de temps, mais n'était pas prête à être une femme. Elle serait alors un fantôme. Une ombre, avançant dans le sillage de son passé. L'antre autrefois habitée de joie et de rêves. Son enfance était un ramassis de conneries et de souvenirs honteux et douloureux, mais au moins cela lui rappelait qu'elle existait. Peut importe le mal qu'ils lui faisaient, elle avait toujours trouver la force de partir ailleurs. De faire vagabonder dans son esprit dans un autre espace temps, à un endroit où elle serait une enfant de dix ans, complètement normale. Chaque jours elle tentait d'occulter ses images de son esprit. Des images qui changeaient constamment en fonction des agressions. Jamais elle n'avait pu occulter complètement ses souvenirs. Dans quelques années, elle y arrivera, mais pour l'instant elle n'as que ndix ans et s'apprête à vivre les quatre pire minutes de sa vie. Quatre minutes pendant lesquelles elle ne ressentit qu'un seul sentiment : l'abandon.


Un flot léger mais continu inonda les joues de la fillette agenouillée contre le sol brûlant. Tout était noir autour d'elle. Ses mains liées l'empêchait de se lever et de courir jusqu'à une délivrance quelconque. Son regard chercha sans grande conviction un indice, un reflet connu, une ombre qui l'aurait aider à se situer. Elle était seule. Tout était calme. Une montagne d'images se dessinèrent dans son esprit. Elle s'échappa de ce lieu maudit, et s'imaginant, jouant avec les enfants de son âge, se souciant plus de son premier soutient-gorge de que devoir défaire ces cordes hargneuses qui lui entaillait les poignets. Elle imagina le soleil, le bruit, les rires, sa mère l'attendant assise sur un banc. Elle riant devant tant de futilité et de simplicité. Ce jour là, la petite fille aurait tout donner pour que ça vie soit rythmée par un minimum de simplicité, de calme, de joie. Pourtant elle continuait de rêver. Voilà bien une chose que toutes ces heures bloquée dans le noir, que toutes ces images lugubres qui hantaient ses nuits ne pourrons jamais lui enlever. Une poupée de cire, emprisonnée dans une prison de verre. Elle tapait sans arrêt, dans l'espoir vain qu'un jour, quelqu'un l'entende. Ses yeux se fermèrent, elle se sentit alors un peu en sécurité. Elle pria de toute ces forces pour être emmenée vers cet endroit de lumière et de joie qu'elle voyait chaque jour en rêve et qu'elle savait inaccessible. Dix ans, dix petites années auraient-elles suffit pour qu'elle se construisent ? C'était une battante, une enfant indépendante, victime des méfaits de la drogue, de la violence des hommes et de la perversions de ces pères. Mais elle restait une enfant. Aux yeux du monde, elle était comme vous et moi. Simplement simple. Tourmentée par des problèmes de son âge, prenant la vie et ces conséquences en pleine face comme si tout était prétexte à la fin du monde. Sachez bien que le monde se trompe. Le monde est d'un égoïsme même. Les gens voient, mais ne parlent pas. Les gens savent, mais ne disent rien. Souvent, les regards des voisins se sont attardés sur cette enfant, étendue face contre terre, luttant pour ne pas mourir de chagrin. Personne ne s'est jamais arrêtée, ne l'as jamais aidée. les gens savent, mais par peur, par manque de courage, par soucis de bien-être personnel se la ferme. Cela aurait pourtant pu la sauver. Un simple mot aurait put bouleverser sa vie et lui rendre sa jeunesse. L'après-midi suivait son cours. La fillette était toujours bloquée dans ce lieu sans lumière, dépourvu de rire et de joie. Le sol n'en restait pas moins brûlant. La fillette sentit ses genoux s'enflammés sous la douleur. Elle eu l'impression d'être posée sur des braises tellement le sol la brûlait. Elle sentit que les cordes qui retenaient ses mains captives se desserrais petit à petit. Alors elle se leva. L'équilibre n'avait jamais été son fort. Elle était pied nus. Elle sentit que sa jupe était fendue. Un liquide chaud coulait le long de sa joue puis tomba en cliquetis régulier sur le sol. Fuir, oui. Mais pour aller où ? Jusqu'à aujourd'hui elle avait encaissé, avait survécu au lieu de vivre. Mais aujourd'hui, tout était tellement différent. Elle sentait encore son souffle chaud contre son oreille, sa voix perverse lui murmurer mille saloperies. Elle eu l'impression que ces doigts couraient encore le long de sa nuque pour finir sur sa poitrine à peine formée. Elle eu envie de vomir. Ce jour avait pire que tout les autres. Elle avait peur de lui, de lui bien plus que des autres. Il avait cette emprise sur elle. Ce lien de sang. Elle eu envie de hurler, mais la parole n'était pas un élément qu'elle appréciait particulièrement. Elle préférait le silence. Se murer dans une carapace basée sur le silence était bien plus rassurant. Elle sentit les cordes cédés. Elle fut mise devant un choix. Elle opta pour la solution la plus folle mais la plus rassurante. Elle savait qu'elle n'avait pas beaucoup de temps et savait que si elle échouait, elle le payerais toute sa vie. Elle chercha à tâtons un interrupteur, une lampe. Sa cheville se bloqua dans un fil se qui la fit tomber à terre. Son genoux claqua violemment le béton. Elle se releva tant bien que mal. Une unique fente de lumière attira son regard. Elle gravit les marches en bois qui craquaient sous son poids. Tremblante, elle poussa la lourde de porte qui la séparait encore du royaume des vivants. Les rayonnements du soleil l'éblouirent. Elle plaça sa main délivré devant ses yeux, pour protéger ces derniers. Elle remarqua alors les lacérations. Elle scruta son corps. Il était mutilé. Coupé en divers endroit, lacéré à d'autre, bleuter dans chaque recoins. Une glace trônait fièrement dans un coin de la pièce. Apeurée, la fillette s'en approcha. Son visage. Ce visage anciennement sien avait été sérieusement abîmé. Un long filet de sang coulait du haut de son crâne. Sa pommette était ouverte, de même que son arcade. Elle vit face à elle une victime. C'était perdu d'avance, pensa t-elle. Comment peut-on gagner après tout cela ? La vie aura raison d'elle. Prise d'une panique nouvelle, elle s'était enfuie en courant. Elle couru jusqu'à la porte d'entrée qu'elle ouvrit à la volée. Ses pieds nus se retrouvaient blessés par la chaleur du sol. Elle sortit dehors. Une longue, très longue allée bordés de terre et de pierre l'attendait. Au diable les pierres et la chaleur. Malgré ses vêtements déchirés, et son corps mutilé elle couru. Elle couru dans l'espoir d'un réconfort, vers une absolution céleste, vers une autre vie, une meilleure. Elle laissa son âme sur le pas de la porte. Elle ne pensait plus, ne voulait plus jamais penser. Elle voulait agir, elle voulait vivre et grandir. Des larmes continuaient de noyer son joli regard empreint de gentillesse et de douceur. Une voix l'interpella. Elle sentit son sang se glaçer mais continua. L'inconnu devint menaçant. La fillette continua. La voix passa au stade supérieur, mais elle continua tout de même.

« Reviens ici tout de suite, petite salope ! »

Elle redoubla de volonté pour courir encore et encore. Le portail lui tendait les bras. Encore quelques secondes et elle sera libre. Encore quelque secondes et elle sera délivrée. Il était quinze heure onze. Elle crut alors qu'elle y était arrivé. Son bras était en mesure d'atteindre la poignée. Elle posa sa main dessus. Ses doigts se refermèrent autour de la tige en fer. Lorsqu'un bruit sourd vint hanter le ciel. Tout devint très calme. plus de cris, plus de voix. La fillette leva les yeux au ciel. Ses mains se posèrent sur son ventre. Une rivière de sang s'en échappa. Elle suffoqua. Elle tomba alors à terre. Son regard restait cependant fixé dans le ciel. était est-ce cela, la délivrance ? Le monde meilleur dont parlait souvent sa mère était-il au bout ses doigts ? Il n'y eu alors plus de vie ni de mort. Il était quinze heure treize. La douleur quitta le corps de cette fillette de dix ans, a genoux, les yeux levés vers les cieux, priant pour un pardon qu'elle méritait plus qu'amplement.





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MessageSujet: Re: Primerose Ann Cartwright ♦ take a breath, open your heart - loading 100%   Primerose Ann Cartwright ♦ take a breath, open your heart - loading 100% Empty2/11/2014, 14:26








CHICAGO LE 12 JUILLET 2008

La nuit tombait doucement sur la ville. La journée avait été d'une chaleur incroyable. Les rues commençait à s'animer. Les vacances étaient arrivées comme providentielle. Les étudiants allait fêter leur réussite, ou boire à leur échecs. Primerose faisait partie de la première partie. Elle avait réussi son année. Malgré toute les embûches qu'elle avait pu rencontrer, elle avait finalement réussi. Sa main se posa sur son ventre, au niveau de sa cicatrice. Elle était ancienne mais la brûlait encore comme du charbon ardent. Elle repensait souvent à cette journée, a la fillette qu'elle était qui avait tout donner pour survivre. Et elle avait réussi. Se jour là elle avait enfin trouver cette absolution qu'elle attendait tellement. Elle avait perdue un rein mais avait gagner un mental à toute épreuve. Un sourire traversa son visage. Elle releva sa longue chevelure en un chignon improvisé. De petite goutte de sueur coulèrent dans son dos dénudé. Elle traversa la foule pour se frayer un chemin jusqu'à ces amis. Dans sa traversée, elle bouscula un jeune homme. Le contenu de son verre se rependit sur la robe neuve de primerose. Pendant quelques secondes elle ne bougea pas, et finit par relever doucement la tête vers le coupable. Leur regards se croisèrent, et c'est à ce moment précis qu'elle se sentit chez elle. Elle n'avait jamais pu expliquer ce sentiment, aujourd'hui encore. Le jeune homme avait esquisser un sourire, et du revers de la main avait retirer les glaçons du décolleté de prim.

« Liam, enchanté »

Il lui tendit une main amicale. Elle ne répondit pas se contentant de la serrer. Elle était trempée, mais ça ne la dérangeait pas plus que ça. Elle secoua la tête ne sachant pas si elle devait le gifler ou l'embrasser. Tout alla très vite ensuite. Le lendemain il lui avait offert une nouvelle robe, la semaine d'après il lui offrait son premier baiser et le mois suivant la plus belle nuit de sa vie. Liam était son sauveur de bien des manières. Les années passèrent et le couple se maria et s'aima comme personne ne s'est jamais aimer. Il la rassurait, séchait ses larmes et encaissait ses crises de rage sans jamais se plaindre. Jamais Primerose n'avait eu une pleine confiance en un homme, mais Liam lui avait prouver qu'elle avait le droit d'être heureuse. Qu'elle pouvait baisser sa garde et accepter cette vie qu'elle n'avait jamais osée imaginée. Pourtant un jour, son monde s'écroula, une nouvelle fois ...

PRAGUE LE 4 JANVIER 2010

Le sang inondait le plancher abîmé par le temps. Une jeune femme blonde se tenait debout, impassible devant le corps inerte d'un homme touché en plein cœur. Elle n'avait pas peur, elle semblait libérée. L'automatique devient alors lourd dans ses mains et tomba au sol. C'est à ce moment précis que la porte s'ouvrit, laissant apparaître deux silhouette flous. L'une d'elle, plus petite accourra vers la jeune femme blonde. Elle l'attrapa et la tourna vers elle.

« Qu'est-ce que tu as ? qu'est-ce qui c'est passé. »

Primerose secoua sa jeune sœur sans obtenir de réponse. Elle ne daigna pas tournée la tête vers le corps inerte de son géniteur. Elle se fichait pas mal qu'il soit mort, elle aurait même préféré être celle qui avait presser la gâchette. Elle s'inquiétait plus pour sa jeune sœur. Elle pris alors son visage dans ses mains. Elle esquissa quelques mots. Son doigt vint essuyer la minuscule tâche de sang sur la joue de la jeune femme blonde. Elle la serra dans ses bras, tellement fort que sa respiration s'était presque coupée. Liam assistait à la scène, partager entre l'horreur et le soulagement. Il ramassa l'automatique qui fourra dans son sac. Tout se passa très vite ensuite. La jeune femme blonde reprit ses esprits et son regard croisa celui affolé de sa soeur.

« Je t'ai libérée Prim, il ne pourra plus jamais t'atteindre. »

Ces mots sonnèrent dans l'esprit de primerose comme une vérité absolue. Alors elle sourit. Certes sa sœur venait de commettre un meurtre, mais elle était incapable d'éprouver la moindre pitié pour cet homme qui avait tant de fois abuser d'elle et de son innocence. Alors elle regarda sa sœur et sans dire un mot lui fit comprendre que tout allait bien se passer. Que personne ne saurait jamais. La maison était isolé, et il n'avait plus aucune famille qui veulent encore lui parler.

« Vient on s'en va. Merci ... »

Primerose caressa le visage de sa sœur et accompagné de son mari ils sortirent. A partir de ce moment là plus rien n'avait été pareil. Certes, elle n'avait pas pressé la gâchette mais se détestait pour ressentir encore cette peine. Car oui il avait été un monstre, mais il avait aussi été son père. Sa sœur n'avait plus jamais été la même depuis ce jour. La colère de primerose s'était intensifiée, par contre sa jeune sœur, non contre elle-même. Jusqu'au jour ou elle devint incontrôlable. Ses cauchemars était trop insistant, sa peur encore trop présente. Même son mari ne pouvait rien y faire. Même cette vie qui grandissait en elle n'avait rien changer. Alors elle avait exploser, Liam avait tout tenter pour la sauver. Faute de quoi il s'était renfermé dans l'alcool. Il s'était mit à boire à toute heure. Primerose frôlait parfois la folie. Ses pensées de confrontait sans arrêt, elle détestait son père, mais lui pardonnait, elle repensait à cette cave, et aurait voulu y retourner. Alors un soir, quand tout ceci était devenu de trop, elle avait lâcher prise, et s'était libérée de cette rage. Les conséquences qui suivirent, furent dramatique ...

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MessageSujet: Re: Primerose Ann Cartwright ♦ take a breath, open your heart - loading 100%   Primerose Ann Cartwright ♦ take a breath, open your heart - loading 100% Empty2/21/2014, 21:57









WALNET GROOVE LE 24 FÉVRIER 2012

Elle se sentit brutalement basculée en arrière. Sans rien à quoi pouvoir se raccrocher. Son regard croisa celui de son mari et le sang se glaça dans ses veines. Elle ne reconnait pas cette homme qui se tenait en face d'elle. Elle savait qu'elle avait été trop loin, que ces propos était impardonnable. Mais jamais elle n'aurait imaginée que tout finisse ainsi. Avant de tombée, elle protégea machinalement son ventre, ce petit être qui grandissait en elle. Elle dévala les marches, son visage vint se cogner contre le carrelage glacé. Son cerveau reconnecta ses souvenirs, la ramenant presque vingt ans auparavant, à Prague. Elle ferma les yeux mais des larmes s'échappèrent malgré tout. Elle tenta tant bien que mal de se relever. Liam descendit péniblement l'escalier, titubant jusqu'à elle. Il s'accroupit prêt de son corps engourdie. Primerose leva la main vers lui.

« Liam ... »

Elle n'eut pas le temps de finir sa phrase. Le poing de son mari vint abattre sur son visage. Une, deux, trois fois. Sonnée, elle ne bougea plus. Elle força son esprit à s'évader comme elle le faisait autrefois. Comment en étaient-ils arriver là ? Les cris de Liam résonnaient dans son esprit. Elle sentit un liquide chaud inondé son visage. Son ventre lui faisait atrocement mal. Sa main jusqu'ici posé sur celui-ci retomba.

« Après tout ce que j'ai fait pour toi Primerose, comment oses-tu me dire ça ? J'ai tout fait pour toi, pourquoi faut-il que tu gâche toujours tout ?!  »

Sa voix se brisa et son bras retomba. Il s'assit prêt de sa femme et revint à lui. L'alcool redescendit brutalement. Son regard se posa sur sa femme inconsciente, pendant quelques secondes il ne bougea pas. Il enfouit sa tête dans ses genoux, les larmes inondèrent son visage. Qu'était-il devenu ? Quelques secondes plus tard il retrouva ses esprits. Les dernières minutes s'imposèrent à lui comme une triste vérité. Qu'avait-il fait ? Primerose lutta pour rester éveillée, elle tendit la main vers Liam.

« Pardon »

Oui elle s'était excusée. Car s'était de sa faute. Puis elle sombra, tout devint noir. Liam la secoua, hurlant. Il courut chercher de l'aide, priant pour que sa femme survive...

UNE SEMAINE PLUS TARD

Primerose était sortie de l'hôpital, Liam avait été incarcéré pour tentative de meurtre. Elle avait perdue le bébé et sa vie lui semblait complètement anéantit. Se jour là elle rentra chez elle tard. Arrivée devant le pas de sa porte elle poussa la porte d'entrée. Une mare de sang trônait au milieu de son salon. Elle ne trouva pas la force d'entrée. Une main se posa sur son épaule. Elle vit volte-face et une vague de chaleur enfla dans son cœur. Grayson, son premier amour se tenait devant elle. Son sourire la rassura. Pourtant les larmes coulèrent sur son visage encore enflé. Le jeune homme la pris dans ses bras et lui caressa les cheveux. Grayson avait toujours été d'une aide précieuse pour primerose, il était venu habité dans le quartier quelques mois auparavant, c'était lui qui l'avait transporté vers l'hôpital. Primerose ferma les yeux, rien ne serait plus jamais comme avant. Elle pensa a son mari, elle l'aimait, mais d'une certaine façon, tout avait changer ...

« ça va aller Prim, tu verras. »

WALNET GROOVE - LE 21 FÉVRIER 2014

Le temps passa. Liam sortit de prison. Mais ce n'était plus comme avant. Primerose ne pouvait plus se passer de Grayson qui l'avait tant aider ces deux dernières années. Elle aimait son mari plus que tout, mais elle ne se sentait plus en sécurité auprès de lui. Le temps panse les blessures à ce qu'on dit, alors la jeune femme se donnera du temps. Du temps pour s'excuser, du temps pour pardonner, et tourner une bonne fois pour toute la page de son passé...

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PRÉNOM/PSEUDO/AGE ► Marynn, leavehsynn, vingt-deux ans. DISPONIBILITÉ ► 7/7j normalement. PERSONNAGE INVENTÉ OU SCÉNARIO ► inventé. VOTRE IMPRESSION SUR LE FORUM ► mon bébé ♥ pas vraiment objective. AVATAR DOUBLE ? ► nope.


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